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3 octobre 2016 1 03 /10 /octobre /2016 18:12
DENTELLIERE dentelle aux fuseaux

Dentellière, un métier tout en finesse pour des demoiselles aux doigts de fée

Certes un travail d’agrément pour les dames de la bonne société, la dentelle reste pour de nombreuses ouvrières rurales une activité du soir. Elles y laissent leur vue, leur santé mais ne font pas fortune pour autant…

La dentelle se distingue.

C’est à Venise vers la fin du XVème siècle que naît l’art de croiser avec finesse les fils de lin, de soie, d’or ou d’argent, sans utiliser de support textile.

En cela, la dentelle est différente de la broderie et de la passementerie.

En France, le terme apparaît au XVIème siècle.

À côté de la dentelle à l’aiguille, ou le point, surtout un passe-temps agréable pour les dames distinguées, naît la dentelle aux fuseaux, moins noble mais plus facile et plus rapide.

La demande s’enflamme pour ces parures riches et changeantes au gré des modes (cols, collerettes, manchettes, jabots, mouchoirs, revers de bottes...).

Les ateliers, plus ou moins familiaux, se multiplient. Couvents et autres institutions fournissent une main-d’oeuvre féminine bon marché.

La marchandise en vogue est vendue au détail par les merciers et propagée par les colporteurs.

Dans plusieurs régions, notamment le Nord, des manufactures voient le jour.

L’importation est aussi nécessaire pour répondre à la consommation.

Des lois somptuaires, dès 1629, tentent de restreindre l’utilisation de la dentelle à la noblesse et la cour.

Avant la Révolution, malgré l’apparition de nouveaux débouchés dans les campagnes, avec les coiffes et les costumes régionaux, l’industrie dentellière entame un lent déclin

Petit appoint au coeur des campagnes à la fin du XVIIème siècle, c’est essentiellement dans les campagnes, à côté des activités purement agricoles et d’un artisanat destiné à satisfaire les besoins locaux, que la fabrication de la dentelle occupe une part notable de l’activité des populations.

Ainsi, au nord de Paris, la dentelle constitue une industrie rurale importante, répartie sur soixante-dix villages situés sur les axes routiers reliant Paris aux Flandres, producteurs en matière première.

Les paysans (laboureurs, marchands fruitiers, coquetiers, vignerons, jardiniers et manouvriers) partagent leurs activités avec la fabrication de la dentelle pour des marchands de dentelles, au service d’une demande extérieure.

Les artisans (cordiers, vanniers, bûcherons, charpentiers...) travaillent plutôt à l’échelle de leur paroisse ou des paroisses voisines, pour une clientèle locale.

Les ouvriers en dentelle, hommes, femmes et même enfants, y trouvent, à la mesure de chacun, une variété de tâches qui s’insèrent dans le rythme et les activités de la vie rurale, à laquelle ni les uns ni les autres ne cessent de participer suivant les heures, les saisons et les besoins en gros travaux.

La dentelle reste donc liée de très près à la vie agricole et s’insère sans difficulté dans les temps morts de celle-ci.

Elle apporte un appoint de ressources monétaires appréciable. Ce jusqu’au milieu du XIXème siècle où l’apparition de la dentelle mécanique condamne la dentelle au fuseau à n’être plus qu’un art d’agrément.

Extrait du chapitre concerné, dans l’ouvrage Les métiers d’autrefois, de Marie-Odile Mergnac, Claire Lanaspre, Baptiste Bertrand et Max Déjean, Archives et Culture.

Partout en France, des clubs de dentellières vous accueillent. Renseignez-vous. Il n'y a pas d'âge pour commencer à apprendre !

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3 octobre 2016 1 03 /10 /octobre /2016 17:35
TIMBRES POSTAUX

~~HISTOIRE DU TIMBRE EN EUROPE (source : Atlas historique des timbres 1er jour – Editions Gründ – Stuart Rossiter et John Flower).

LES POSTES ROYALES

Jusqu’à 1660, les cours royales et les souverains correspondent entre eux, ainsi que les marchands. Mise en place d’un système de messagers royaux qui voyagent à cheval réservé aux besoins du roi et de sa cour.

Parallèlement, les marchands n’ayant pas accès aux postes royales développent leur propre réseau postal.

C’est ainsi que la poste marchande couvre toute l’Europe à la fin du XVe siècle et au début du XVIe. Elle commence en Italie, instituée initialement par les marchands vénitiens qui étendent leurs réseaux commerciaux de plus en plus vers le nord, jusqu’à atteindre l’Angleterre au début du XVIe siècle.

C’est le destinataire qui pait le port de la lettre quel que soit le pays d’origine ou de destination.

A partir de 1660, en France et en Angleterre, le public dispose d’un service postal qui est déclaré monopole en Angleterre afin d’éviter la création d’un système parallèle concurrent de la Poste Royale.

FETE DU TIMBRE - ENTREE GRATUITE - ANIMATIONS DANS 87 VILLES EN FRANCE -

www.ffap.net

www.laposte.fr/toutsurletimbre

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3 octobre 2016 1 03 /10 /octobre /2016 16:45

LES CHIFFRES ROMAINS

Lire et déchiffrer les chiffres romains.

Les chiffres romains n’offrent pas de difficultés particulières lorsque l’on en connaît le code de déchiffrage

Il faut savoir que :

I = 1

V = 5

X = 10

L = 50

C = 100

D = 500

M = 1000

Pour la lecture on retranche d’un chiffre plus élevé un chiffre moins élevé lorsque ce dernier est placé devant et on l’ajoute lorsqu’il est placé après.

On additionne ensemble les chiffres de même valeur, placés les uns à côté des autres.

Exemple :

MDCCCXLVII signifie : M (1000) + D (500) + CCC (300) + L-X (50 - 10 = 40) + V (5) + I (1) + I (1)

Ce qui donne l’opération suivante :

1000 + 500 + 300 + 40 + 5 + 1 + 1 = 1847

La difficulté vient avec certaines manières typographiques employées pour écrire ces chiffres.

Exemples :

1000 qui s’écrit M en chiffre romain peut s’écrire aussi cIc ou CIƆ ou ∞

Et

500 qui se transcrit D peut s’écrire aussi IƆ ou Iɔ * L’année 1624 : CIƆ.IƆ.C.XX.IV ou cIc Iɔcxxiv I

Le chiffre 1 se transcrit I, i ou j. *

L’année 1582 peut s’écrire :

MDXXCII ou bien MCCCCCLXXXII ou bien ∞ DXXCII, ou CIƆ IƆ XXCII ou cIɔ.Iɔ.xxcij ou M.Vc.XXC.II (« c » est multiplié par V).

Avouez que notre manière actuelle d’écrire les chiffres est bien plus facile à écrire et à lire.

« Les chiffres arabes sont les dix chiffres (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0 1) et le système d'écriture décimale positionnelle qui les accompagne.

Leur origine a fait l'objet de plusieurs hypothèses, souvent on les présente comme dérivant de caractères indiens, ce qui a amené certains à les qualifier de chiffres indo-arabes.

Leur existence est mentionnée en Syrie, au milieu du VIIe siècle par l'évêque Sévère Sebôkht2.

Ils sont empruntés par la civilisation musulmane à partir du IXe siècle et décrits dans un ouvrage du mathématicien perse Al-Khawarizmi, puis peu à peu transmis à l'Occident médiéval où ils ont mis plusieurs siècles à s'imposer.

Ces chiffres ont progressivement remplacé les chiffres romains et se sont graduellement imposés dans le monde entier parce qu’ils permettent une notation plus aisée dans le système décimal.

Ce système est utilisé en Occident, sous l'influence des mathématiciens arabes, grecs et persans et facilitent les opérations simples sur les grands nombres et les opérations complexes. » (source wikipédia)

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3 octobre 2016 1 03 /10 /octobre /2016 16:35

~~LE DERNIER LOUP (Extraits revue des archives départementales de la Dordogne « Mémoire de la Dordogne » Service abonnement 9, rue Littré 24000 Périgueux).

Les armes à feu et le poison eurent raison de l’espèce dont la régression débute en France à la fin du XVIIIè siècle. De 1798 à 1802 on y tue en moyenne 138 loups ou louveteaux chaque année avec un maximum de 159 en 1802. Très vite on cherche une solution pour réduire les populations car l’abolition du monopole seigneurial de la chasse, en 1789, ne produit pas immédiatement ses effets.

La réquisition de la poudre pour les arsenaux de la République menacée engendre au contraire un répit propice. La première de ces solutions était la battue, ordonnée par le Préfet et confiée aux Lieutenants de Louveterie, très ancien corps d’officiers créée par François 1er en 1520.

L’expérience démontra l’inutilité quasi-totale de ces grandes manifestations dont l’ampleur de conception n’avait d’égal que le désordre et le manque de technicité dans l’exécution. Les maires de plusieurs communes limitrophes devaient réquisitionner au jour défini un certain nombre de tireurs armés de fusils, et de batteurs équipés de bâtons ou de fourches. Citons, par exemple, la battue envisagée dans les bois de la commune de Saint-Saud-Lacoussière le 7 avril 1806 qui prévoyait la participation théorique de 240 tireurs et 280 batteurs…

En réalité, une seule commune envoya 110 hommes… La gendarmerie également sollicitée, devait « inciter » les batteurs à rentrer dans les bois… Parallèlement un système de prime de destruction individuelle est institué par le Gouvernement dès 1796…

Moutons et chiens sont des animaux domestiques qui ne laissent pas le loup indifférent, d’autant que la densité de chevreuils et de cerfs était au XIXe siècle bien inférieure à celle que nous connaissons aujourd’hui. L’augmentation de la population en zone rurale et la multiplication du bétail rendent la présence du loup de plus en plus insupportable.

Les récits d’attaque contre l’homme existent, mais il est difficile de préciser s’il s’agit d’un loup spécialisé dans ce type de proie, ou d’un loup enragé. La rage est partout en France en 1800, même si elle est essentiellement véhiculée par le chien…

Les quatre derniers loups adultes sont tués en 1923, à Firbeix et à Chaleix. Un louveteau est détruit à Sarlande le 29 mai 1929.

Une peinture rupestre de la grotte de Font-de-Gaume relate la présence des loups dans notre région.

Contact : www.eyzies.monuments-nationaux.fr

Grotte de Font-de-Gaume : 4 avenue des grottes 24620 Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil.

Tel. 33 5 53 06 86 00 (Nombre de places très limité pour des raisons de conservation).

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3 octobre 2016 1 03 /10 /octobre /2016 16:19

~~Prénoms :

La Révolution Française voulut rompre avec les anciennes traditions et c’est ainsi que le Calendrier Républicain fut institué le 24 octobre 1792. Fabre d’Eglantine donna aux douze mois des noms poétiques et évocateurs, tels que Vendémiaire, mois des vendanges, Frimaire, mois des frimas, ou Fructidor, mois des fruits, etc… Parallèlement, les législateurs révolutionnaires introduisirent une grande liberté dans le choix des prénoms donnés aux enfants. Ainsi, les actes de naissance des communes de Terrasson et de Périgueux de l’an 2 et de l’an 3 (1793 à 1795) révèlent des prénoms si insolites et inimaginables que je ne résiste pas au plaisir de vous les livrer.

Huit catégories de prénoms peuvent être discernées dont il est très utile de souligner le sexe, par la lettre M pour masculin et F pour féminin, car rien ne peut laisser supposer qu’un bébé prénommé « dindon » soit une fille, ou qu’un autre prénommé « brebis » soit un garçon !

Légumes : Pois (M) – Haricot (F) – Melon (F) – Fenouil (F) – Piment (M) – Radis (F) – Asperge (F) – Chou-fleur (M) – Patate ou pomme de terre (F).

Fruits : Prune (F) – Marron (M) – Coing (M). Outils ou divers Râteau (M) – Faux (M) – Chariot (F) – Faucille (F) – Moulin (M) – Pioche (M) – Pelle (M) – Sarcloir (M) – Fléau (M).

Animaux : Coq (M) – Carpe (F) – Pigeon (F) – Brebis (M) – Loutre (M) – Truite (F) – Dindon (F) – Grillon (M) – Lapin (F) – Veau (M).

Plantes/Fleurs : Mandragore (F) – Bouton d’or (F) – Fromental (M) - Valériane (F) – Seigle (F) – Avoine (F) Véronique (F) – Romarin (F) – Girofle (M) – Menthe (F) – Armoise (F) – Millet (F) - Eglantine (F) – Réglisse (F) – Safran (M) – Jonquille (F) – Primevère (F) – Rose (F) – Pivoine (M) – Sauge (F) – Mélisse (M) – Blé (M) – Ajonc (M) – Chicorée (M) – Fleur (F) – Marguerite (F) –Narcisse (M). Arbres Hêtre (M) – Peuplier (M) – Aulne (F) – Charme (F) – Platane (M) – Sapin (M) – Olivier (M).

Noms de mois : Prairial (M) – Quatorze-juillet (M).

Métaux/Minéraux/Productions : Fer (F) – Fumier (M) – Salpêtre (F) – Argile (F) – Grès (M) – Cuivre (F) – Soufre (M) – Houille (F).

Vous noterez que certains prénoms ont passé les siècles de générations en générations et subsistent de nos jours (2016).

Catégorie Fleurs :

4 Février – Véronique (F)

5 octobre – Fleur (F) 16 novembre – Marguerite (F) 29 octobre – Narcisse (M).

Catégorie Arbres : 12 juillet – Olivier (M)

Catégorie Départements : 18 novembre – Aude (F)

Catégorie Villes : 1er décembre – Florence (F)

Soyez fier du prénom qui vous a été donné par vos parents quelque soit son origine. Ce n’est pas le prénom qui fait l’homme !

Bonne fête à tous !

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21 février 2016 7 21 /02 /février /2016 20:50
Fuseau DMC80 Marque-page

Fuseau DMC80 Marque-page

Un peu d’histoire

 

L’origine de la dentelle aux fuseaux remonte à la nuit des temps. Des fouilles réalisées au début de ce siècle ont mis au jour des dentelles fabriquées il y a 2 000 ans à Memphis et Antinoë, en Égypte, avant de s’implanter en Europe, toute auréolée de légendes !

 

En Belgique, c’est une femme de pêcheur qui créa, dit-on, la première dentelle en passant des fils dans les mailles d’un filet. A Venise une jeune fille essaya d’imiter un corail des mers du sud appelé « dentelle des fées ». A Bruges, la Vierge en aurait révélé le secret à une jeune fille, et Sainte Brigitte, influencée par la dentelle italienne, en aurait rapporté l’idée en Suède. Mais ce sont les grands pèlerinages de Saint Jacques de Compostelle, favorisant un échange artistique et économique sans précédent, qui permettront aux artisans arabes, héritiers des dentelliers égyptiens, de transmettre leur savoir.

 

Ainsi, l’histoire de la dentelle aux fuseaux en France ne peut se dissocier de celle de la cité du Puy en Velay (elle-même ville étape de l’illustre pèlerinage) et depuis fort longtemps : une fresque du 11° siècle reproduisant un rideau de dentelle atteste de l’ancienneté de la dentelle vellave. La dentelle a fait vivre, à domicile, au milieu de leur famille, sans quitter leur foyer et leur village, des milliers de femmes françaises et belges, à condition toutefois que ces femmes aient toujours de l’ouvrage et que leur production trouve les débouchés utiles et les acheteursindispensables.

Les nobles et les riches raffolent de la dentelle, les hommes comme les femmes. Tous les vêtements en sont garnis : les gants, les manchettes, les cols, les haut-de-chausses, les robes , les jupons et même dans les carrosses. Devant cet usage excessif, de 1629 à 1639, 4 édits interdiront ou réglementeront l’usage des passements et dentelles. Les rois ou les empereurs avaient jadis inventé même des étiquettes de cour, comme par exemple le port obligatoire, dans la coiffure, de la « barbe en dentelle », sans laquelle une grande dame n’était pas admise à pénétrer dans les réceptions officielles. Cette obligation n’avait pour but que d’obliger les femmes riches et de qualité à s’intéresser à la dentelle, à en consommer, pour le plus grand bien des artistes qui dessinaient des merveilles, et des artisanes habiles qui les exécutaient.

 

De nos jours, de semblables mesures seraient sans doute hors de propos. Au 18° siècle, 20 000 dentellières en Normandie, 40 000 dans le Nord et le Valenciennois, plus de 100 000 dans la région du Puy manient les fuseaux et consacrent cet art. La noblesse et le clergé, qui inspirent la mode, sont alors couverts de dentelles (dont le prix considérable les placent au rang d’œuvres d’art, transmises par héritage).

 

Avec la fin du 19° siècle et malgré de nombreuses expositions qui, de par le monde, consacrent l’art dentellier français, le déclin de la dentelle est irréversible. Depuis, des centaines de générations ont œuvré pour nous transmettre un savoir-faire hors du commun : conception de pièces d’apparat, haute couture, ornementation de tissus… autant de domaines où le fil, les fuseaux ont livré le meilleur d’eux-mêmes.

 

Avec l’apparition des métiers mécaniques, ces techniques ont failli disparaître mais elles revivent aujourd’hui en France.

 

En Périgord, de nombreux clubs vous proposent des ateliers d'apprentissage, des démonstrations lors de festivités, des couviges, des Félibrées.

 

Rejoignez-nous au club "Cliquetis et Papotages" de Cublac tous les vendredis de 14 h 30 à 17 h.

 

Venez nombreux au COUVIGE (Rencontre internationale de dentellières et marchands se rapportant aux métiers de la dentelle) :

 

                  SAMEDI 16 AVRIL 2016 à CUBLAC (près TERRASSON-LA VILLEDIEU).

 

 

 

Dentellières.
 

Dentellières aux doigts agiles,

En faisant chanter les fuseaux,

Nouez, épinglez, croisez, tournez les fils

Tendus sur votre carreau,

Et dessinés sur le carton,

Les jolis points du fond torchon,

Les galons et les guipures,

Embelliront toutes vos parures.

            (Mélanie)

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 18:21

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Dans un livre d'auteur anonyme florentin sont décrites 57 recettes dont beaucoup d'entre elles sont encore d'actualité aujourdh'ui. On y trouve ravioli, tortelli, pâtés, oies, chapons, grues, épaule d'agneau au four, tête de veau marinée puis les poissons de l'Arno, esturgeons, lamproies, anguilles, carpes, écrevisses et encore tartes, tourtes et pâtisseries.

 

Dans un autre manuscrit, on trouve d'autres plats typiques de notre cuisine : broches mixtes (morceau de porc, poulet, lapin avec grives ou merles) cuites sur les braises, rôtis de porc aux navets, civets de sauvagine, oie à l'orange, fegatelli (morceaux de foie de porc cuits dans le saindoux), carbonades (entrecôte grillée à la florentine) et la vraie moutarde toscane.

 

Mais dans tous les plats, on ajoutait des "Spetie in buona quatitade" (épices en bonne quantité) qui servaient à masquer l'odeur des viandes un peu faisandées. C'est la raison pour laquelle les épices et les arômes avaient autant d'importance autrefois.

 

Aujourd'hui on utilise les épices en petites quantiés pour exalter telle ou telle saveur.

 

 

 

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 17:55

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Au temps de Dante (1265-1321)

 

Nonobstant les âpres luttes entre Guelfi et Ghibellini d'abord, et entre Guelfi Bianchi (fidèles à l'Empereur) et Guelfi Neri (fidèles aux Papes) ensuite, c'est en ce siècle que mûrit la grande civilisation florentine.

 

Florence devint un état si important, en mesure de traiter d'égal à égal avec royaume et papauté. Elle fut le centre de la culture mondiale, la patrie incontestée des Maîtres des Arts de la littérature de la langue italienne, mode et coutumes.

 

Dans cette période en ébullition et de renouvellement (La Renaissance), la gastronomie reprend ses droits et se développe considérablement ; les cuisines s'agrandissent et s'ornent de cheminées d'art, à table on mange de manière raffinée.

 

Au début de ce siècle, un nouvel ustensile fait son apparition : la fourchette, qui restera encore inconnue longtemps dans le reste de l'Italie et encore plus en France où elle sera introduite par Catherine de Médicis au VIème siècle.

 

Il avait bien raison de souffrir, Dante, quand en tant que Guelfo Bianco, il fut exilé de sa Florence adorée en 1302.

 

Chez les commerçants, on trouvait de tout : huile d'olive des collines florentines, vins du Chianti, viandes de la Chiana (plaine d'Azerro), poulets de la vallée de l'Arno, agneaux et légumes de toutes sortes.

 

On y trouvait aussi beaucoup de poissons : celui de l'Arnho, bien sûr, exquis et abondant qui fit la renommée de restaurants florentins jusqu'au début du XXème siècle, mais aussi celui de la mer toute proche, dorades, rougets, loups, sèches, poulpes.

 

Il parait qu'en ce temps-là on mangeait plus de poisson qu'aujourd'hui car le samedi était comme le vendredi, jour de jeune.

 

Le marché au poisson était tout près de Ponte Vecchio dans l'actuelle Piazza del Pesce (place du poisson). Il avait une loge spécialement pour les pesciaivoli (marchands de poissons). Cette loge fut détruite pour construire un accès direct du Ponte Vecchio aux Galeries des Uttizes voulu par Casimo I de Médicis et réalisé par Vasari.

 

Malgré l'absence de réfrigérateur, le poisson était frais car couvert de glace. Les florentins entassaient d'énormes quantités de glace et neige pendant l'hiver dans des profondes caves situées dans l'actuelle Via delle Ghiacciaie (rue des glacières). Cette glace servait aussi pour rafraîchir les boissons car celle du boire frais a toujours été une manie des florentins. On préparait déjà les "Ghiaccioli", glace pilée avec un petit manche en bois sur laquelle on versait un sirop de fruit.

 

 

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20 février 2013 3 20 /02 /février /2013 19:06

Balade poétique en Dordogne  

FETE SAINT-ROCH

 

 

A Saint-Geniès, (près de Sarlat-la-Canéda en Dordogne), au mois de Juillet, il est une fête qui déplace les foules. C’est la Saint-Roch. Mais qui était ce Saint ?

 

A l’âge de vingt ans il partit en pèlerinage à Rome après avoir distribué la moitié de sa fortune aux pauvres. Il vécut plusieurs années dans la ville éternelle, soignant les malades et parfois même les guérissant par le signe de la croix. De retour vers la France, il fut pris de la peste. Alors il se cacha dans un bois où un chien venait l’y rencontrer et lui porter chaque jour un morceau de pain qu’il prenait à son maître. Le maître découvrit le stratagème, rencontra Roch et devint son ami. Quand Roch se retrouva à Montpellier, sa ville natale, on ne le reconnut plus et on le jeta dans un cachot, croyant que c’était un insurgé, la ville connaissant alors la guerre civile. Il mourut en prison dans l’indifférence. Ce fut sa grand-mère seulement qui le reconnut à cause d’une tache de vin en forme de croix qu’il avait sur la poitrine depuis sa naissance. Première moitié du XIVe siècle.

 

(source « Fontaines sacrées en Périgord » de Bernadette DARCHEN collection Centaurée).

 

 

 

 

LA DEMOISELLE NOIRE

 

 

Entre prunelliers et noisetiers,

Cornouillers et cerisiers de Sainte-Lucie,

Au pied d’un chêne truffier,

La demoiselle noire

Soulève la terre brûlée

Pour se laisser flairer.

Suivez la mouche, le chien ou la truie.

 

« A la Saint-Roch

La truffe est sur le roc ».

 

Tâtez, soupesez avec délicatesse

Cette capricieuse princesse

Qui se laisse savourer

Tout au long de l’année.

 

 

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 21:00

Château de Castelnaud Château fort de Castelnaud-la-Chapelle

                                en Dordogne

 

 

 

 

 

 

DU CHATEAU FORT A LA FORTERESSE

 

Un voyage à travers le temps, du Moyen Age à nos jours.

 

 

 

LE TEMPS DU CHATEAU FORT

 

 

Généralement érigé sur une hauteur, le château fort est à la fois un lieu d’habitation pour la noblesse, une structure défensive et un emblème du pouvoir.

 

A partir du XIIIe siècle, il adopte sa structure en trois parties :

 

. un mur d’enceinte muni de tours et de ponts-levis,

. un palais souvent entouré de jardins,

. un donjon abritant le trésor, la chapelle et les armes.

 

Construit sur une butte pour surveiller les contrées voisines, le château fort est protégé par des douves. Les tours disposent de meurtrières pour contrer les assaillants.

Encore agrémenté d’une tour de guet et de mâchicoulis, il connaît son apogée au XIVe avec des édifices tels que le Château de Foix.

 

Quelques châteaux forts :

 

Berceau de la dynastie anglo-normande, le Château Guillaume-le-Conquérant trône depuis le Xe siècle sur l’éperon rocheux de Falaise en Basse-Normandie.

Il fut habité par Henri Ier Beauclerc, Richard Cœur de Lion et Jean sans Terre.

www.chateau-guillaume-leconquerant.fr

 

 

Le Château des Comtes de Foix en Midi-Pyrénées s’élève au pied des montagnes avec trois tours érigées entre le XIe et le XVe siècle.

Il fut habité par Gaston Fébus.

www.grands-sites-ariege.fr

 

 

Dans le Nord-Pas-de-Calais, le Château-musée de Boulogne-sur-mer est à l’image de l’évolution architecturale du XIIIe siècle.

Vases grecs, antiquités égyptiennes, masques d’Alaska.

www.ville-boulogne-sur-mer.fr

 

 

Au cœur du Pays de la Loire, le Château-musée de Saumur, ancien donjon du XIIe siècle, transformé en demeure de plaisance à la fin du XIVe siècle par Louis d’Anjou, est un joyau de l’art gothique finissant.

Le dernier palais princier de la dynastie des Valois emmène ses visiteurs à la découverte du cheval et des arts décoratifs.

www.ville-saumur.fr

 

 

LE TEMPS DES FORTERESSES

 

 

Resté intact depuis sa construction au XVe siècle, le Château d’Anjony en Auvergne est un exemple typique de forteresse de montagne avec ses quatre tours rondes.

Louis d’Anjony, compagnon de Jeanne d’Arc, reçut la mission d’y représenter l’autorité royale.

www.anjony.com

 

 

Dans le Limousin, le Château de Pompadour fut reconstruit au XVe siècle par Geoffroy Hélie de Pompadour sur les ruines d’une forteresse datant de 1026.

Louis XV offrit à sa favorite la Marquise de Pompadour le domaine et les titres de noblesse.

Passionnée de cheval, elle persuada le roi d’y créer un Haras royal.

www.les3tours-pompadour.com

 

 

La Citadelle de Corte domine l’azur de la Méditerranée depuis la reprise de la cité aux Gênois par Vincentello d’Istria en 1419.

La place forte abrite le musée de la Corse et ses nombreuses collections.

www.musee-corse.com

 

 

En Languedoc Roussillon, la Forteresse de Salses, ouvrage de la fin du XVe siècle est un exemple rare d’architecture entre château fort et bastion militaire moderne. Jusqu’au traité des Pyrénées en 1659, il sera au centre du conflit franco-espagnol pour la possession du Roussillon.

www.salses.monuments-nationaux.fr

 

Le Château de la Madeleine, situé sur les hauteurs de Chevreuse (à 40 km de Paris), offre un superbe panorama sur la vallée. Cette magnifique forteresse médiévale en pierre meulière (XIe – XIVe siècle) abrite la Maison du Parc.

www.parcs-naturels-regionaux.fr

 

Au large du Vieux-Port de Marseille, le Château d’If, édifié par François 1er, est, sur son îlot de roc blanc, une pierre angulaire défensive de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

www.if.monuments-nationaux.fr

 

 

En Bretagne, le Château du Taureau qui défendait la ville de Morlaix dès le XVIe siècle est un exemple de fortification maritime. Il est ainsi utilisé par Vauban au XVIIIe.

www.chateaudutaureau.com

 

 (source LA POSTE www.laposte.fr)

 

 

Bonnes visites !

 

 

 

LE CHATEAU

 

 

Je suis le château dont vous avez toujours rêvé.

Celui des contes de fées,

Celui des épopées.

 

J’ai recueilli les gueux, les rois,

Des courtisans, des princesses.

Cendrillon, la Belle au bois dormant

Et des princes charmants !

 

Un jour, le Comte Dracula

S’installa dans mon donjon et me fit peur.

On dit aussi que toutes les nuits

Les fantômes hantent mes appartements.

 

Au cours de vos promenades estivales

Ne passez pas sans me voir.

Je vous recevrai chaleureusement

Comme une veille connaissance amie

Sait si bien le faire.

 

 

 

 

 

 

 

 

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6 novembre 2012 2 06 /11 /novembre /2012 10:22

 

Quand la fiction est devenue réalité... dans ce monde qui nous fait vivre à 300 à l'heure, où l'on veut aller plus vite, toujours plus vite, alors je vous invite à monter dans cette supercar.... Bon voyage........

 

 

 

 

NUMERO 1 52 02 76

 

La supercar n’avait pas voulu démarrer de suite. Il avait donc interrogé l’ordinateur. La réponse était simple : “avoir recours au processus 18 du chapitre quatrième, paragraphe A”. Après avoir pressé le bouton 09, un volumineux livre apparut. Il rechercha la manette correspondant au “processus 18 du chapitre quatrième, paragraphe A”. Elle portait le numéro 118 S, en souvenir des vieilles voitures qui possédaient également une “manette S” (il ne voyait pas d’ailleurs à quoi cela pouvait correspondre). Il avait perdu 3 minutes 15 secondes. Il actionna la manette F et sa supercar s’éleva. Il dépassa le plafond réglementaire de 150 mètres et vola vers son bureau.

 

Une chance qu’il ait été en Province, sa supercar était vieille de trois mois et ne montait pas au-delà de 230 mètres. Dans la capitale, le plafond était de 300 mètres, il aurait eu une amende. Cette circulation devenait impossible : il ne pouvait plus aller à plus de 300 à l’heure sans risquer d’accident.

 

Il aperçut le bar d’un alti-terrain, et décida de s’arrêter quelques secondes. Il se posa sur le toit de la tour. Il était à 100 mètres du sol. Le bar était illuminé. La porte s’ouvrit. Il s’installa à la table 690 X.

 

Il mit le contact, pressa deux boutons pour obtenir : un chocolat et deux croissants. Une lumière rouge s’alluma, la somme s’inscrivit, deux secondes plus tard le plateau arriva qui fut délivré à la présentation de la carte bancaire, momentanément introduite dans la fente P. La lueur verte apparut. Il put commencer à déchirer les emballages des croissants en poudre qu’il mélangea au chocolat synthétique. Vite, il lui restait 10 secondes pour rejoindre le bureau. Il arriva “à l’heure”, vieille habitude qu’il ne pouvait oublier et qu’il était le seul à conserver.

 

Il fit atterrir sa supercar sur le toit du bureau, s’assit dans le confortable fauteuil-toboggan et se retrouva face à la porte de son cabinet. Elle s’ouvrit, il entra. Il était déjà tellement énervé, qu’il décida d’utiliser le défatigueur.

 

Il s’allongea et appuya sur la manette bleue. Il fit un rapide problème de probabilité pour savoir si l’eau serait chaude, froide, glacée, tiède. Il eut la réponse immédiatement : elle était glacée. Il poussa la boule jaune et, le Vibreur-décontracteur se mit en mouvement. Le voyant bleu s’alluma, le séchoir fit ce qu’il devait faire. Une sonnerie retentit. Il montra sa carte et put se lever.

 

Il s’installa alors, face au tableau 4, mur du Nord et, après s’être assuré qu’il n’y avait ni contre-ordre, ni ordre particulier, il programma les données ordinaires. Trois sifflements stridents retentirent. L’écran 3 s’alluma, le visage de 2 04 68 75 apparut. Elle était bien mignonne. Ils bavardèrent. Elle lui fixa rendez-vous pour le lendemain. Le soleil artificiel entrait par les trois murs translucides.

 

1 52 01 76 prit un vieux livre. Il avait décidé d’apprendre le vieux français. Vraiment ce livre de Barjavel était une aberration, celui de Musset était extraordinaire. Comment cet homme avait-il  pu écrire tant de choses aussi actuelles ? Plusieurs de ses collègues vinrent bavarder avec lui par écran.

 

Il ne lui restait plus qu’à veiller jusqu’au soir, et à s’en retourner chez lui. Il passera la nuit avec la femme 2 51 11 76 qui était son “Epouse 13" et n’avait pas encore eu le temps de lui donner un super-bébé-express.

 

Puis il recommencerait.

 

 

 

AU TEMPS JADIS

 

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5 octobre 2012 5 05 /10 /octobre /2012 20:26

 

 

55 

 

 

 

Voici une liste fort utile des produits, matériaux et tissus qu'il ne faut surtout pas mélanger :

 

 

* Acier, inox et eau de javel

 

* Argenterie et acide, sel de mer ou eau de javel

 

* Bois peint et détergent ou lessive

 

* Caoutchouc et alcool à brûler

 

* Cuir et alcool ou ammoniaque

 

* Eau de javel et détartrant pour WC

 

* Linoléum et alcool ou javel

 

* Marbre et vernis

 

* Soie et eau oxygénée

 

* Fibres synthétiques et alcool ou solvants

 

 

 

 

Souvenons-nous des trucs de nos grand-mères qui ont fait leurs preuves :

 

 

Le bicarbonate de soude est un excellent nettoyant mais également un adoucissant pour le linge en machine.

 

Le vinaigre blanc et le jus de citron désinfectent la cuisine et lavent les vitres, tout comme le papier journal qui ne laisse pas de traces contrairement aux chiffons. Le vinaigre blanc est un excellent détartrant pour les robinetteries.

 

Pensez à nettoyer vos inserts de cheminée avec du papier imbibé d'un mélange d'eau et de cendres.

 

Pour laver votre linge utilisez des noix de lavage, c'est économique et bon pour la planète.

 

Pour nettoyer vos carrelages, de l'eau de pluie à laquelle vous ajoutez quelques cuillères à soupe de vinaigre blanc, brillance garantie !

 

 

 

BON MENAGE A TOUS !

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30 juillet 2012 1 30 /07 /juillet /2012 18:36

 

 

 

Le Buvard : qui n'en a pas utilisé à l'école ? Il était bien pratique pour sécher les pâtés faits lorsque nous écrivions avec un porte-plume.

 

 

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Malgré son ancienneté, la pile Leclanché est encore utilisée de nos jours grâce à son faible coût. Des milliards d’exemplaires sont fabriqués chaque année. La pile Leclanché permet d’alimenter les appareils qui ne fonctionnent que par intermédiaires comme les lampes de poches, les appareils de radio ou certains jouets. Cependant, dans les applications qui exigent un débit prolongé, la pile Leclanché est supplantée par la pile alcaline dont les performances sont bien supérieures. 

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3 juillet 2012 2 03 /07 /juillet /2012 20:11

 

 

 

 

 

 

 

                                                                              LA CUISINE DE NOTRE MAISON D’ENFANCE

 

 

Si l’on me parle de simplicité de vie, de rusticité même, je suis immédiatement transportée dans la cuisine où ma mère officie, sérieuse et appliquée devant sa cuisinière bois et charbon, où une bouilloire sifflote en permanence. Le décor est rustique et plein d’humilité ; tout est peint en beige et marron ; sur un côté trône un fameux buffet Henri II. Il abrite les assiettes et les verres et comporte deux grands tiroirs pleins de bouts de ficelle et de trésors interdits.

 

De l’autre côté, sur une étagère haut perchée, protégé comme un coffre-fort, siège le gros poste de T.S.F. équipé du fameux "oeil magique".

 

Dans un coin, l’évier où l’on fait à peu près tout : vaisselle, petite lessive, toilette, shampoing, rasage, etc...

 

Dans un autre coin, une machine à coudre à pédale SINGER et un fourre-tout pour la couture et les petits travaux en cours.

 

Au milieu quatre chaises et une table massive recouverte d’une toile cirée à petits carreaux bleu et blanc.

 

 

 

 

Livret-Singer.jpg

 

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 Pour l'entretien de la maison, nous n'utilisions pas de produit chimique.

 

 

 

bassine en cuivre

 

 

 

 

Nos grands-mères savaient ...  ce qu'il fallait faire pour

 

 

PRESERVER LA PLANETE  ET PUIS C'ETAIT ECONOMIQUE.

 

 

3 produits de base pour tout nettoyer, du sol au plafond...

 

 

* le bicarbonate de soude est un excellent nettoyant, mais également un adoucissant pour le linge en machine.

 

* le vinaigre blanc et le jus de citron désinfectent la cuisine et lavent les vitres.

 

* séchez vos vitres, glaces avec du papier journal qui ne laisse jamais de traces contrairement aux chiffons.

 

* nettoyer les portes de placards en bois avec du papier journal uniquement.

 

* nettoyez les vitres de vos inserts avec du papier journal humidifié avec de l'eau et de la cendre de votre cheminée.

 

 

D'autres astuces :

 

* cirer les meubles, encrasse le bois ; nettoyer à l'essence térébenthine puis vernir selon la teinte choisie. Vous n'aurez plus besoin d'acheter de cire.

 

* utiliser des lingettes micro-fibres pour nettoyer vos vitres avec de l'eau, sans aucun produit.

 

* pour redonner de l'éclat aux paillassons, utiliser une éponge ou une brosse trempée dans de l'eau salée.

 

* pour les débarrasser de la dernière poussière, saupoudrez-les de marc de café  encore humide ; laissez agir une nuit, secouez dehors, puis passez l'aspirateur pour ôter les traces de café.

   

* votre argenterie s'oxyde ? offrez lui un bain ! Ne jetez pas vos pelures de pommes de terre. Faites les bouillir dans de l'eau ; laissez refroidir et plongez-y vos couverts toute une nuit. Une fois essuyés, polissez-les avec une peau de chamois.

 

* lorsque le bois des fenêtres gonfle, saupoudrez de talc la rainure qui se trouve en bas de la fenêtre.

 

* votre parquet craque ? saupoudrez les interstices des lames de talc que vous ferez pénétrer avec une brosse. Une méthode plus radicale consiste à injecter avec une seringue de la parafine fondue entre les lames.

 

* le talc sera bien utile aussi pour éliminer les mauvaises odeurs des chaussures.

 

* nettoyer le carrelage avec du savon noir.

 

 

 

 

J'ai le mal de terre  

 

 

 

 

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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 17:33

Vous souvenez-vous de ces petits aide-mémoire édités par la Caisse d'Epargne pour les écoliers ?

 

 

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Des albums d'images à collectionner pour apprendre aux enfants à épargner ?

 

 

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 A l'époque la Caisse d'Epargne scolaire se disait être la Banque des Jeunes.

 

 

Apprendre à épargner dès l'école était son leitmotiv.

Avec ses formules :

 

 

'Petit à petit l'oiseau fait son nid"

 

"Ne gaspille pas ton argent, verse-le à la Caisse d'Epargne"

 

"Fais des économies"

 

"Economiser, c'est se ménager un abri sûr pour l'avenir"

 

"L'économie n'est pas l'avarice"

 

"Mieux vaut être la prévoyante fourmi que la misérable cigale de la fable !"

 

"Les petits ruisseaux font de grandes rivières"

 

"Grâce à l'épargne la fortune vient en dormant"

 

"Quiétude et  tranquillité grâce à la banque des jeunes"

 

"L'épargne scolaire, c'est la banque des jeunes"

 

"Fais de l'épargne une habitude !"

 

"Suis la route de l'épargne, ton avenir sera meilleur"

 

"Epargne pour l'avenir !"

 

"Petit poisson deviendra grand"

 

 

 

Mais encore :

 

"Si tu veux un jour dépenser, il faut d'abord économiser"

 

"Les petites économies placées sur un livret de Caisse d'Epargne feront bien vite de grosses sommes"

 

 

Et avec les images les écoliers s'instruisaient..

 

 

 

 

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Peut-être une idée à remettre au goût du jour ?

 

 

 Le code de la route à l'école

 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 18:11

 

 

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JANVIER

 

 

S'il pleut le premier jour de l'an, août sera pluvieux.

 

Oignon bien habillé verra forte gelée.

 

 

FEVRIER

 

Jusqu'à ce que les chataîgniers soient fleuris,

ne sortez pas les couvertures des lits.

 

 

MARS

 

Si le soleil se couche dans un ciel pur et serein,

comptez sur une belle journée le lendemain.

 

 

AVRIL

 

 

Avril pluvieux,

fait mai joyeux.

 

 

MAI

 

Quand il pleut le 1er mai,

les vaches perdent la moitié de leur lait.

 

 

JUIN

 

S'il pleut à la St Médard, il pleut 40 jours plus tard, à moins que St Barnabé ne lui coupe l'herbe sous le pied.

 

 

JUILLET

 

Juin, juillet en fraîcheur, en août orage et chaleur.

 

 

AOUT

 

Pinsons près des maisons, la pluie est de saison.

 

 

SEPTEMBRE

 

Si les bergeronnettes trottent sur les ruisseaux, ferme ta maisonnette, il va pleuvoir à seaux.

 

 

OCTOBRE

 

Année de hannetons, année de prunes, de chataîgnes, blé à foison.

 

 

NOVEMBRE

 

Le froid sévit les trois quarts de l'année si le vent souffle à la Toussaint sonnée.

 

 

DECEMBRE

 

 

Neige de Saint-Nicolas donne froid pour trois mois.

 

 

 

 

Dictons de l'année

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 19:23

 

 

Voici un code de la route illustré qui était donné aux petits écoliers des années 50..... Souvenirs, souvenirs....

 

 

 

Code-de-la-route-ecole.jpg

 

 

 VERSO

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Panneaux-route-ecole.jpg

 

 

 

Souvenirs d'enfance

 

 

 

 

 

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 11:33

 

 

 

 

Montignac - La Félibrée

 

 

Lorsque la batteuse a fait son apparition après la guerre de 1914 le ramassage du blé s'en est trouvé amélioré.

 

La batteuse se tenait dans une cours de ferme, un enclos large et découvert ou sous un grand hangard. Elle était actionnée par une locomotive à vapeur, et une immense courroie entraînait la batteuse à au moins dix mètres de distance, pour éviter les risques d'incendie, à cause des étincelles.

 

Cette batteuse faisait en même temps fléau et tarare. Elle séparait l'épi du grain, qui passait ensuite sur un tamis, tandis qu'un courant d'air chassait la balle. Et au fur et à mesure que le grain tombait, il s'ensachait automatiquement. Le sac plein, on le serrait, et hop ! un autre sac.

 

De l'autre côté, la paille sortait en ballots. Ou bien c'était le travail de l'"embarillonneuse", qui serrait la paille. Il n'y avait qu'à surveiller et à évacuer ballots et sacs. Ils étaient trois : un sur la meule qui faisait passer les gerbes au bout d'une fourche très longue ; un autre qui les recevait ; et un troisième, l'engranaire, qui coupait le lient et présentait la brassée à l'ouverture de la trémi ; là, une sorte de tablier à pointes venait la prendre. C'était dangereux pour les mains et il fallait faire attention. Pendant ce temps, d'autres ouvriers avançaient les gerbes plus éloignées, car la machine était grosse mangeuse et n'arrêtait jamais, sauf au moment du repas. Le soir, les hommes étaient arrenduts (épuisés).

 

Cette batteuse allait ainsi de village en village, et fonctionnait sept jours sur sept, de l'aube à la nuit, pendant tout le mois de juillet. Elle montait au fur et à mesure avec son équipe vers les hauteurs, où les moissons sont plus tardives. Dans la plaine, début août, tout était terminé ; à la montagne, ça démarrait.

 

"A la Sainte-Madeleine, celui qui bat, bat sans peine". A cette période, le grain est bien sec et se décortique facilement. 

 

(Source : La mémoire du village de Léonce Chaleil).

 

 

Dans les Hautes-Pyrénées, à Soulan, lorsque les terrains sont en pente, les moissons se font encore manuellement.

 

 

 

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 J'ai le mal de terre

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 11:10

 

 

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1905, c'est la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Les Gardois barricadent l'église de Brouzet et chantent cet hymne :

 

 

 

Nous la voulons dans nos églises,

La liberté du citoyen,

Nous la  voulons, quoi qu'on en dise,

Nous la voulons, c'est notre  bien.

 

Debout, debout et l'âme fière

Allons défendre le Christ-Roi,

Nous la voulons, et tout entière,

La liberté, c'est notre droit.

 

Nous la voulons dans la caserne,

La liberté du citoyen,

La foi de nos fils nous concerne,

Nous la voulons, c'est notre bien.

 

 

(source : La mémoire du village de Léonce Chaleil)

 

 

 

 

 

Chanter la vie

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7 mai 2011 6 07 /05 /mai /2011 13:15

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AMIS DU RAIL, VOICI LA PETITE HISTOIRE DES TRAINS-RADIOS

 

DE LA S.N.C.F.

  

 

 

 

« C’est en 1930 que l’idée d’agrémenter les voyages en chemin de fer par des auditions radiophoniques fit son apparition. Son application fut alors limitée à l’installation dans certains trains d’écouteurs individuels permettant aux voyageurs, moyennant un prix de location forfaitaire, d’écouter les émissions de diverses stations de T.S.F., captées au cours de la marche par un poste récepteur installé dans une cabine aménagée dans l’un des fourgons.

 

Cette innovation fut réalisée sur les rapides du Havre, de Cherbourg et de Brest. En apportant aux voyageurs une distraction nouvelle s’ajoutant à la lecture des journaux et revues, pour rompre la monotonie des longs trajets, cette formule connut quelque succès.

 

Si la formule primitive s’adressait au voyageur d’affaires, on songea à agrémenter les voyages plus touristiques par des causeries diffusées à l’intérieur des compartiments au moyen de haut-parleurs, commentant les sites, monuments et paysages défilant devant les yeux du public, ces causeries pouvant alterner avec des émissions musicales venant agréablement varier le programme des émissions.

 

Après quelques essais satisfaisants effectués à la fin de 1934, la direction de l’ex Chemin de fer du Nord décida de constituer deux rames à audition. La première fut achevée le 15 mai 1935 et la seconde mise en service au printemps de 1936. Une troisième rame d’audition fut réalisée fin 1936.

 

Le succès des trains-radio a été sans cesse croissant. C’est ainsi que les parcours kilométriques effectués par trois rames de la région du Nord, au titre de voyages organisés, sont passés de 12 949 Km en 1935 , à 30 351 Km en 1936, et à 51 549 Km en 1937 (dont 8000 Km en pays étranger).

 

Sur la région du Sud-Ouest, les rames-radio ont totalisé en 1937, un parcours de 18 240 Km.

 

Ces chiffres montrent la faveur dont jouissaient déjà les trains-radio. »

 

 

Extrait de « NOTRE METIER N° 1 du 15 mai 1938 »

 

 

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 12:27

 

 

 

 

 

 

 

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Rien ne vaut les méthodes traditionnelles pour capturer une taupe.

 

Ce modèle de piège fonctionne très bien et est facile à poser.

 

Choisir une butte fraîche, y déposer le piège et le recouvrir de terre.

 

 

 

Et voici le résultat.... Quand on connaît les dégâts qu'une seule taupe occasionne dans un terrain, on est bien content d'avoir trouvé une solution pour s'en débarrasser....

 

 

 

 

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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 19:13

 

 

 

 

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Qui pourrait me dire l'origine du tableau ci-dessus. Je pensais à WALDORP...

 

 (Excusez la mauvaise qualité de la prise de vue...)

 

 

Merci pour vos recherches.

 

 

 

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2 décembre 2010 4 02 /12 /décembre /2010 14:52

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Voici un carosse miniature réalisé entièrement avec des boîtes de fromage en bois que vous pourrez réaliser avec des enfants.

 

 

Allez, je vous donne la région de la provenance des fromages ?

 

 

 

                                                       Vous avez trouvé ? Bravo...

 

 

Alors "Vive la Normandie !" et ses traditions...

 

 

 

 

 

Un petit tour sur les albums, les poésies, les recettes régionales... Bon voyage...

 

 

 

 

 

 

 

Cotentin Cotentin

 

Un petit tour poétique en Normandie

 

 

Recettes gourmandes d'antan

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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 14:58

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Grâce à l'artisanat, les vieux métiers et les savoir-faire sont remis au goût du jour et valorisés.

 

Malheureusement certains métiers continuent de disparaître.

 

Je tiens à mettre à l'honneur quelques uns d'entre eux.

 

 

 

 

 

LOU BOURNAT

  

Feuillardier, vannier,

Tresseur de blé, meunier,

Batteur de faux, bourelier,

Bouilleur de cru, tonnelier,

Scieur de long, scieur forestier,

Forgeron,

Charron,

Sabotier, tourneur sur bois,

Enoiseuse, gaveuse d’oie,

Souffleur de verre, potière,

Confiturière, dentelière, 

 

Dans un village du siècle dernier,

Tout un vivier de métiers oubliés.

 

 

 

 

 

 

Le DINANDIER        

 

 

Dans son atelier,

La forge allumée,

A l’aide de son maillet,

Il façonne le cuivre ou l’étain.

Avec des petits burins

Ou des clous limés,

De fines ciselures en sculptures,

Soudures, polissage, peinture,

Il enfante sa création

Dans la douleur et l’émotion.

   

 

 

 

 

 

LE MOULIN

 

 

Autrefois, quand vous descendiez

Au fond de la vallée,

Entre pâtures dorées

Et taillis de châtaigniers,

Au détour d’un chemin empierré,

L’eau de la rivière cascadait

Au rythme d’une roue à augets.

 

Les ailes du moulin tournaient

Au gré d’un vent plein de rires,

D’espérance et de soupirs.

 

L’air avait une sorte de jeunesse,

Sentait la vie nouvelle et ses promesses.

L’été courbait l’échine du meunier,

Le ciel déployait sa nappe bleutée,

Pour adoucir sa vie.

 

Aujourd’hui,

La vallée somnole sous le soleil,

Le vieux moulin a replié ses ailes,

Un tracteur herse une prairie

Entre deux bois truffiers.

 

Sous le ciel parsemé de nuages épais,

L’homme souffre, courbe son dos vieilli,

Pour continuer de vivre et à rêver

D’une embellie après l’orage d’été.

 

 

 

 

 

 

 

 

LES GABARES

 

 

De Limeuil à Saint-Léon,

Les eaux ambrées

De la Vézère

Se mêlent en lents tourbillons

Aux eaux vertes

De la Dordogne.

Les rives sont recouvertes

D’une herbe fraîche et veloutée,

De joncs et de roseaux.

Une file de bateaux

Descend la rivière généreuse,

Bien enlevée par la cadence des mariniers.

L’écume jaillit longeant

Les flancs des gabarots

Et des Naus.

Elle danse derrière une sarabande mousseuse.

Le sillage s’élargit

Comme la traîne d’une robe de mariée,

Pour venir battre les pierres tiédies

Dans un clapotis chantant

Qui se veut être une caresse d’amour.

Couralin, courpet,

Couajadour,

D’une gabare à l’autre, porté par les airs,

Retentit fort et clair

Le chant des bateliers des siècles passés :

 

 

« E sus la Dordonia

 

Davalan los batels ».

 

 

 

             

 

                                                                       LE FOURNIL      

 

                       

Dans le fournil éclairé

Par une faible ampoule enfarinée,

Le boulanger prépare son levain

Pour le lendemain.

 

 

A trois heures du matin,

Il dépose dans le pétrin,

La farine et le levain,

Et pétrit la pâte de ses fortes mains.

 

 

Les longs pâtons sont couchés

Sur les pelles à enfourner

Dans la tiédeur du fournil embrasé.

Le boulanger surveille sa fournée.

 

 

Le parfum du pain,

Frais, craquant, doré,

Levé et cuit à point,

Est léger comme des nuages d’été.

 

 

 

Balade poétique en Dordogne

 

Vieux métiers Vieux métiers

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1 mars 2010 1 01 /03 /mars /2010 16:16




Normandie




A chaque région, ses us et coutumes,

                        ses produits du terroir,

                        ses coiffes et costumes folkloriques,
                        
                        son patois.



 

 


Normandie du Bel Antan
    Groupe folkorique "La Normandie du Bel Antan"

 

Je ne suis pas sur cette photo mais j'ai fait partie de ce groupe dans les années 73 - 75

Violon, danse et chant...

avec Vitalien, Clarisse...  



   FOLKLORE ET TRADITIONS



Retrouvez les coiffes et les costumes traditionnels de nos anciens, perpétués dans les différents groupes folkloriques régionaux dans l'album photos "folklore français".

Peut-être allez vous retrouver l'un de vos proches ou amis ?

Folklore-de-France Folklore-de-France

 

 

Les majorettes de Caen (Vous y étiez ?)

 

 

  

 

 

Les majorettes de Caen

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Hommes et chevaux

MAROC

 

SALON DU CHEVAL EL JADIDA

 

Un rendez-vous annuel à ne pas manquer.

 

Spectacles équestres nationaux et internationaux, fantasia, matériel équestre....

 

http://salonducheval.ma

 

 

 

LES GRANDS CAVALIERS DU MONDE 

 

 

Ils sont de tous les pays :

 

. Gardiens de bétail,  

. Chasseurs ou guerriers,

   

Sans le cheval, ils n'auraient pas existé.

 

 

www.culture-amerindiens.com

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En roulotte,

 

En vélo,

 

En mongolfière,

 

Le Périgord dévoile ses secrets de beauté, ses traditions, son folklore.

 

 

 

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Eugène Le Roy, l'auteur de Jacquou le Croquant a écrit :

"Le secret du bonheur c'est de trouver sa juste place".

Le musée qui lui est consacré vous permettra de découvrir sa vie, son oeuvre. Il se situe à Montignac en Dordogne, près des grottes de Lascaux.

 

Des photos du film sont visibles sur le site www.leperigordecorinne.com

 

 

 

 

 

 

 

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Pour tous vos travaux de peinture, décoration, travail soigné :

 

  

Rendez-vous sur le site          : http://www.peinture-tendance.net

 

 

 

 

 

 

 

Vivre au moyen-âge

 

 

Comment vivaient nos ancêtres au Moyen-Age ?

 

. Cultures et traditions.

 

 

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La santé au naturel

  

autres-marches-autres-fruits-autres-legumes-france-54380434 

 

button046Mal de gorge ?   Un gargarisme avec un citron pressé

        Une cuillerée de confiture de mûres

                                             

button046Mal de dents ?   Un bain de bouche avec une décoction

        chaude obtenue en faisant bouillir 5 figues

        dans un litre d'eau ou de lait

 

 

button046Toux ?   Préparez un sirop maison en faisant une

        décoction avec quelques abricots séchés 

        et 15 g de bourrache dans un litre d'eau

        Ajouter une cuillère de miel avant de le boire

 

button046Brûlures au 1er degré ?   Faire un cataplasme avec la pulpe de 

        courge crue, ou la pulpe d'une pomme de terre

 

button046Un bleu ?  Appliquer sur le bleu un glaçon,

        ensuite un peu de beurre salé

 

button046Une plaie saine ?  Après nettoyage et désinfectée faire un 

        cataplasme d'argile

 

button046Maux de ventre ?  Infusion de sauge

 

button046Insomnie ? Infusion de fleurs de lavande (5 pour 1 l d'eau)             

 

button046Constipation ?  Confiture de Rhubarbe

 

button046Tâches de rousseur ?  Décoction de fleurs de romarin

        (50 g pour 1/2 l d'eau) en lotions sur le visage

 

button046Verrues ?  Le suc jaune orangé qui suinte de la chélidoine

        quand on coupe une de ses tiges en applications

        quotidiennes éliminera vos verrues en 8 jours

 

 

button046 Une piqûre d'insecte ?   Appliquer une compresse de vinaigre d'alcool

            

         (guêpe - aoûtat)       Une tête de poireau coupée en deux.

         L'acide du poireau décompose le venin,

         supprime l'enflure et la douleur disparaît en

         quelques minutes.                                            

 

button046Pour stimuler vos anti-corps en période hivernale : infusion de Thym

       20 à 30 g de sommités fleuries pour 1 l d'eau

 

button046A consommer sans modération le miel fabriqué par nos amies les abeilles

 

     

 

 

 

EH OUI POUR TOUS LES PETITS BOBOS NOS GRAND-MERES SAVAIENT NOUS SOIGNER AVEC CE QU'ELLES AVAIENT SOUS LA MAIN !

 

La nature prodigue tout le nécessaire pour que l'on soit en bonne santé au fil des saisons.

 

Ne tombez pas dans le piège des laboratoires pharmaceutiques qui vous proposent des médicaments qui n'ont pas été testés et qui ont des effets secondaires sur l'organisme mais qui leur génèrent des profits importants. Le nombre de malades augmentent et le trou de la sécu aussi...

 

 

* * * * * * * * * *

 

VOUS AVEZ DIT BIO ?????

 

Avant de passer à la culture intensive, les produits étaient cultivés sainement... Difficile de revenir en arrière quand les terres cultivées ont été empoisonnées par les pesticides, fongicides.... Ce n'est pas parce-que c'est indiqué BIO sur le produit qu'il est bio et qu'il a été élaboré avec des méthodes naturelles.. La recrudescence des personnes intéressées par une alimentation saine a conduit les holdings commerciales à s'emparer de ce marché pour justifier le prix excessif, abusif, des produits soi-disant BIO.

 

Les seuls produits vraiment BIO sont élaborés d'après un cahier des charges déposé auprès de la commission européenne et le seul logo BIO valable est celui du cercle "étoiles" qui apparaît sur les emballages.    

 

Félicitons les agriculteurs et éleveurs qui sont dans la véritable filière BIO et qui ont des difficultés à survivre...